lundi 7 novembre 2011

LINA BEN MHENNI: «ON POURRA ME TUER, MAIS JE NE PORTERAI JAMAIS LE VOILE»



أنظروا ماذا قالت توكل كرمان(هذي اللي افتكت جائزة نوبل من لينا بن مهنى ) - سألها الصحافيون مستغربين أن لباسها لا يعكس مدى ثقافتها ودراستها ظنآ منهم ان الحجاب رمز تخلف ورجعية ’’
فأجابتهم بكل بساطة وذكاء قائلة :إن الإنسان في العصور الأولى كان شبه عاريا ومع تطور فكره عبر الزمن بدأ يرتدي الثياب وما أنا عليه اليوم وما أرتديه هو قمة الفكر والرقي الذي وصل إليه الإنسان عبر العصور وليس تخلفا ’’ أما العري فهو علامة التخلف والرجوع بفكر الإنسان إلى العصور الأولى....
 الحمد لله.



LES RATES DE LA STARAC

Par Robert Habel - 
LINA BEN MHENNI
Elle parle d’une voix calme et un peu traînante, elle est très douce mais très déterminée. Lina Ben Mhenni, 28 ans, tient un blog depuis 2007, atunisiangirl.blogspot.com, où elle a mené le combat, avec une audace et un courage incroyables, contre la dictature du président Ben Ali et où elle continue d’exprimer aujourd’hui, après les élections à l’Assemblée constituante qui ont donné la semaine dernière plus de 40% des voix au parti islamiste Ennahda (Renaissance), les espoirs et les droits des Tunisiens et des Tunisiennes attachés à la démocratie et aux droits humains. Une militante, une battante!

La victoire des islamistes, c’est une douche froide pour vous?

Je m’y attendais et, d’ailleurs, j’ai boycotté cette élection pour plusieurs raisons, à commencer par la présence de partis reconstitués du RCD, le parti de Ben Ali. La révolution devait correspondre à une rupture totale avec le passé; or, cette rupture n’a pas eu lieu: les rcdistes n’ont pas été poursuivis, ils ont constitué de nouveaux partis ou ils se sont infiltrés dans d’autres partis, dont Ennahda. Le leader d’Ennahda, Ghannouchi, a dit que son parti acceptait les rcdistes propres, comme s’il pouvait y avoir des gens propres dans l’ancien parti de la dictature. En participant à ces élections, j’aurais donné de la légitimité à ces gens.
les jeunes Tunisiens sont des jeunes libres.Je ne porterai jamais le voile!


Mais les islamistes ont gagné.

Pour les gens, Ennahda, c’est le parti de Dieu, de la religion. Donc, pour eux, couper avec le passé, c’était retourner vers la religion, élire un parti religieux, islamiste. En plus, Ennahda est un parti bien organisé, il a dépensé beaucoup d’argent, il a acheté des voix, il a fait de la manipulation…

La révolution menée au nom des libertés va déboucher sur l’islamisme?

C’est un risque, malheureusement! Mais la majorité des électeurs d’Ennahda n’a pas adhéré à ce parti pour son programme. Ennahda a promis par exemple de créer 600 000 postes de travail en deux ans. (Rire.) On verra s’il y arrive…

Leur vrai programme, c’est la charia, c’est la suppression des droits des femmes, etc.

Leur discours est ambigu, mais il est dirigé d’abord contre les femmes. Leur candidate emblématique est une femme non voilée, qui se dit indépendante. On propose son nom pour la présidence de l’Assemblée constituante. C’est un piège! Elle a déjà commencé par parler des boîtes de nuit: elle dit qu’elle veut les conserver, mais en changeant les règles. Elle dit que les boîtes de nuit sont des endroits où il n’y a pas de morale et elle sousentend qu’elles pourraient être réservées aux touristes. C’est grave de la part d’une femme qui a toujours vécu dans un pays touristique et qui sait que les jeunes Tunisiens sont des jeunes libres. Un autre responsable islamiste parle d’interdire la mixité à l’école, c’est effrayant, on va retourner plusieurs siècles en arrière.

Les islamistes parlent aussi d’interdire l’alcool.

Ils sont dans une logique d’interdiction. Ce sont des obscurantistes et ils risquent d’utiliser la violence pour imposer leur loi. C’est très dangereux. Ils vont le faire de manière intelligente, par étapes, prudemment, mais ils vont le faire. Les libertés sont menacées: on sent déjà de la tension dans la rue. Des filles sont harcelées parce qu’elles ne portent pas le voile. Elles sont en jean et en T-shirt, et des gens les prennent à partie en leur disant: «Tu es nue, va t’habiller!»

On vous a déjà agressée parce que vous ne portez pas le voile?

Moi non, mais plusieurs de mes amies l’ont été.

Si le voile devient obligatoire, vous serez obligée de le porter.

Jamais! Je ne porterai jamais le voile! C’est le symbole de la soumission de la femme et je ne le mettrai jamais. Ils pourront me tuer et je suis prête à mourir, mais je défendrai ma liberté jusqu’au bout.
Je ne porterai jamais le voile!


Vous êtes croyante?

Oui, je suis musulmane, croyante mais pas pratiquante.

Les femmes sont les premières visées, aujourd’hui.

Oui, tous les droits qu’on a obtenus avec le Code du statut personnel, promulgué par Bourguiba il y a cinquante ans, sont aujourd’hui en danger. Et ça me fait peur! Quand les Tunisiens ont fait la révolution, c’était pour avoir davantage de libertés et, là, on se retrouve dans une impasse. Les islamistes sont venus voler notre révolution. Ils ont confisqué la révolution. Mais les Tunisiennes ne se laisseront pas faire: il y a 24% de femmes élues dans l’Assemblée constituante.
Je me sentais étrangère dans mon propre pays sous Ben Ali


Vous ne commencez pas à regretter le régime de Ben Ali?

Non, je ne le regretterai jamais. Ben Ali devait partir, mais son système est toujours en place. On n’a pas mené cette révolution jusqu’au bout. Il aurait fallu exclure les collaborateurs de Ben Ali de la vie politique, ce qui n’a pas été fait. Ils ont gardé le monopole des ministères, comme le Ministère de l’intérieur, ils ont la main sur les médias, sur les juges…

Les islamistes veulent rétablir la polygamie?

Oui, Ghannouchi a déclaré qu’il n’allait pas interdire la polygamie. C’est grave, c’est très grave. La Tunisie était un exemple pour les autres pays arabes, et maintenant elle risque d’être l’exemple de la régression. Je suis désespérée, mais je ne baisse pas les bras. Je me sentais étrangère dans mon propre pays sous Ben Ali, j’espère que je ne vais pas me sentir de nouveau étrangère chez moi sous une dictature islamique.


Etes-vous de nouveau surveillée et suivie dans la rue, comme sous Ben Ali?

Ces derniers jours, oui. Depuis que j’ai déclaré que je boycottais les élections, j’ai eu trois jours horribles où je revoyais devant chez moi les mêmes voitures, les mêmes indicateurs. Ils ont disparu quand j’ai commencé à parler de cela sur Facebook et à la télévision. Et puis, de toute façon, mon téléphone est sur écoute.

Vous craignez pour votre sécurité?

Oui, j’ai peur, c’est normal. Mais en même temps j’assume. Je suis pour la vraie liberté, pas celle des islamistes. Je crois que chacun est libre de sa vie, de sa religion, de ses croyances.

La vague de fond islamiste semble si large et si puissante qu’il va être difficile de l’arrêter.

Oui, et puis ils sont soutenus par des pays étrangers. Les Etats-Unis jouent le jeu d’un islam modéré, sur le modèle de la Turquie. Mais cette histoire d’islam modéré, je n’y crois pas. Je pense que la religion, c’est spirituel, c’est entre l’individu et Dieu. Les gens d’Ennahda veulent interpréter les textes sacrés comme ils le veulent, ils veulent donner des interprétations qui conviennent le plus à leur programme.

Vous ne regrettez pas la chute de Ben Ali ou de Kadhafi?

Je ne peux pas parler pour les Libyens, mais en tout cas, en Tunisie, je ne regretterai jamais le renversement de Ben Ali. C’était un dictateur. En Libye, quand je vois les déclarations de Jibril qui veut rétablir la charia et la polygamie, je me dis que c’est catastrophique. Ces gens sont des malades.

Mais Ben Ali respectait les droits des femmes.

Ça faisait partie de sa propagande. C’est vrai qu’il respectait les droits des femmes, mais il n’a pas respecté les islamistes qui ont été torturés. C’étaient aussi des Tunisiens, c’étaient aussi des êtres humains et ils ont subi la répression, eux aussi. Une dictature, c’est une dictature, il n’y a pas de différence pour moi. Les gens qui ont renversé Ben Ali pourront renverser une nouvelle dictature. Je me considère désormais comme une éternelle opposante! (Rire.)

La contestation continue aujourd’hui en Syrie. Faut-il renverser Assad ou le considérer comme un rempart contre l’islamisme?

Il faut le renverser! C’est un dictateur!

Donc, on va mettre au pouvoir un nouveau régime islamique?

C’est au peuple de choisir! Toute dictature doit être renversée. Ben Ali nous a massacrés pendant vingt-trois ans parce qu’il s’est présenté comme un rempart contre l’islamisme. Ce n’était pas une raison pour le garder.

Ce n’était pas un moindre mal?

Non! Il fallait se débarrasser de cette dictature et continuer ensuite la bataille contre toute forme de dictature. On a renversé Ben Ali et, si nécessaire, il faudra continuer la bataille. Même si Che Guevara n’est pas un bon exemple parce qu’il a été lui aussi sanguinaire et que je suis contre toute violence, je pense comme lui qu’un révolutionnaire ne démissionne jamais. Même si je ne peux profiter demain de la liberté qu’on a conquise, ce sera pour les générations suivantes.

Comment voyez-vous votre action dans les semaines qui viennent?

Je vais continuer à vivre normalement, à écrire, à bloguer, à travailler. Mais, s’il faut mobiliser les gens ou ressortir dans la rue, je serai présente.

Vous avez été nommée pour le prix Nobel de la paix, mais vous ne l’avez pas obtenu. Etes-vous déçue?

Non, pas du tout! Quand j’ai commencé ma bataille, ce n’était pas pour avoir des prix. C’était pour la liberté! Quand je vois maintenant que les gens m’arrêtent dans la rue pour m’embrasser et me dire qu’ils sont fiers de moi, c’est plus extraordinaire que tous les prix du monde. Quand j’ai commencé à écrire, je m’attendais à être arrêtée, emprisonnée, torturée, je ne m’attendais pas à des prix. Et puis, pendant toute la semaine où mon nom circulait pour le prix Nobel, j’ai été attaquée sur Facebook par des islamistes, j’ai été harcelée par les médias, je n’avais plus le temps de manger et de dormir. J’ai failli faire une dépression. Donc, je me suis sentie soulagée quand je n’ai pas eu le prix.

Ça n’aurait pas été une certaine protection pour la suite?

Je me sens déjà protégée un peu, car je suis médiatisée. Je suis heureuse aussi, parce qu’on a inspiré le monde entier. Dans le monde arabe, le courant islamiste a confisqué la révolution, mais quand on voit ce qui s’est passé en Espagne, en Grèce, en Géorgie, aux Etats-Unis, on a été le point de départ de certains mouvements révolutionnaires. Et ça, ça me donne de l’espoir. Avec Ben Ali, j’étais une personne qui dérangeait et aujourd’hui je continue à être une personne qui dérange. Mais moi, ça ne me dérange pas! (Rire.)


Réponse d'un blogueur très Tunisien


Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 14:55

Elle a dit:"Avec Ben Ali, j’étais une personne qui dérangeait et aujourd’hui je continue à être une personne qui dérange. Mais moi, ça ne me dérange pas! (Rire.)" Juste au paragraphe précédent elle a dit:" J’ai été harcelée par les médias, je n’avais plus le temps de manger et de dormir. J’ai failli faire une dépression" Oui car la dépression c'est moins fort que le dérangement (RIIIIIIIIIIIIRE)

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 14:46

Elle a dit:"je me suis sentie soulagée quand je n’ai pas eu le prix." Ce prix est allé à une voilée soumise. Et tu délires être soulagée. Le Nobel n'a pas vu l'habit mais il a considéré le vrai militantisme. Votre théorie de voile et soumission vous a coûte un prix Nobel. Elle ne mérite même pas d"être archivée. A la poubelle.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 14:32

Elle a dit: "Je vais continuer à vivre normalement, à écrire, à bloguer, à travailler. Mais, s’il faut mobiliser les gens ou ressortir dans la rue, je serai présente." Vous attestez que vous êtes en paix et que ça va continuer et même vous êtes confiante de pratiquer en toute liberté le droit de contestation le cas échéant. Exactement comme sous ZABA HEIN? Les français vous envieront. MENTEUSE.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 14:10

Elle a dit: "Même si je ne peux profiter demain de la liberté qu’on a conquise, ce sera pour les générations suivantes." Ne faites pas une fuite en avant, vous êtes incapables de convaincre les vivants libres. Le peuple détient encore sa liberté et a rendu son verdict le 23/10/2011. Ne l'insultez pas.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 13:56

Elle dit: "Ben Ali nous a massacrés pendant vingt-trois ans parce qu’il s’est présenté comme un rempart contre l’islamisme. Ce n’était pas une raison pour le garder." Oui, mais le problème c'est que des gens comme vous essaient sans le déclarer d'hériter Ben Ali pour accomplir la même mission. Et pour la même raison le peuple ne vous a pas regardé.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 13:45

Elle a dit: "Les gens qui ont renversé Ben Ali pourront renverser une nouvelle dictature. Je me considère désormais comme une éternelle opposante! (Rire.)" Oui bien sûr, car vous serez éternelle perdante avec votre style impopulaire (RIRE).

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 13:28

Elle dit: "Les gens d’Ennahda veulent interpréter les textes sacrés comme ils le veulent" Oui, ça c'est leur droit pourvu qu'ils n'imposent rien. Ou est le mal? Si vous étés jalouse pour le sacré que Ennahdha sacrifie, alors changer de profil en migrant de musulmane croyante non pratiquante en musulmane croyante juste pratiquante pour donner l'exemple aux trop pratiquants.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 13:15

Elle a dit: "Oui, et puis ils sont soutenus par des pays étrangers. Les Etats-Unis jouent le jeu d’un islam modéré, sur le modèle de la Turquie. Mais cette histoire d’islam modéré, je n’y crois pas." Oui, car Pour vous l'Islam ne peut être que terrorisme, intolérance, ignorance et tout le jargon rétrograde. Il doit être en perpétuel opposition avec le modernisme.Allez visiter la Turquie. Ignare.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 13:00

Elle a dit: "les mêmes indicateurs. Ils ont disparu quand j’ai commencé à parler de cela sur Facebook et à la télévision. Et puis, de toute façon, mon téléphone est sur écoute." Oui, surement ils ont eu peur des foules qui ont manifesté derrière vous.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 12:16

Elle a dit: "Depuis que j’ai déclaré que je boycottais les élections, j’ai eu trois jours horribles" C'est parce que vous avez été surpris par l'afflux populaire et les résultats qui vous ont mis à nu devant le monde entier.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 12:09

A la question: "Vous craignez pour votre sécurité?" Elle réplique:"Oui, j’ai peur, c’est normal. Mais en même temps j’assume. Je suis pour la vraie liberté, pas celle des islamistes" Du temps de ZABA vous n'avez rien assumé.Les islamistes, eux, ont assumé. Cessez de mentir.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 11:58

Elle dit:"Oui, je suis musulmane, croyante mais pas pratiquante." OK mais sûrement vous n'êtes pas un modèle pour nos filles tunisiennes et musulmanes.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 11:53

Elle a dit:"Je ne porterai jamais le voile! C’est le symbole de la soumission...".Oui 42 "soumissionnées" vont représenter le peuple tunisien dans la constituantes.Malheureusement pour vous vous ne leur faites pas la concurrence.Certes le voile ne fait pas la pieuse, mais aussi la nudité ne fait pas la progressiste.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 11:40

Elle reconnait qu'on ne l'a pas agressée parce qu'elle ne porte pas le voile. Mais elle prétend que plusieurs de ses amies l’ont été. Pourtant ses inconnues amies ne sont pas célèbres comme elle l'est. Normalement elle devrait être beaucoup plus exposée à tels prétendus actes organisés. MENSONGE.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 11:31

Elle dit: "Les islamistes parlent aussi d’interdire l’alcool." Les islamistes sont dans la logique du consensus plutôt que dans la logique de l'interdiction. Ennahdha n'a pas à se mêler de votre ivresse ça ne regarde que vous. Cessez de mentir. C'est l'Islam qui interdit l'alcool à ses adeptes, dont vous prétendez être. Allez négocier avec le Mufti.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 10:44

Cher modérateur vous ne cessez de retirer mes commentaires. Pourquoi vous publiez des insultes directes et des accusations gratuites à une formation politique majoritaire dans notre pays. Votre réponse est d'avance connue. Liberté d'expression. J’adhère. Mais je dois en bénéficier aussi. Laisser moi s'exprimer librement et libérer ce que vous avez censuré (au moins 3 commentaires).

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 10:31

Elle dit: "Oui, Ghannouchi a déclaré qu’il n’allait pas interdire la polygamie" Le contraire figure dans le programme Ennahdha. La preuve vous incombe. Je vous défie.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 10:22

Elle a dit: "Les islamistes sont venus voler notre révolution. Ils ont confisqué la révolution. Mais les Tunisiennes ne se laisseront pas faire: il y a 24% de femmes élues dans l’Assemblée constituante." Mais suivant votre logique 80% des 24% sont des voleuses de la révolution. Malheureusement pour vous vous n'avez que 4.8%. Mieux que rien.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 10:12

Elle dit:"Oui, je suis musulmane, croyante mais pas pratiquante." OK mais sûrement vous n'êtes pas un modèle pour nos filles tunisiennes et musulmanes.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 09:03

La menteuse tombe dans la contradiction en disant: "Leur discours est ambigu.... Leur candidate emblématique est une femme non voilée..n propose son nom pour la présidence de l’Assemblée constituante. C’est un piège" Pourquoi Ennahdha ne vous a pas piégé vous dans ce poste? Je jure que auriez accepté. Mais ça démontre que Ennahdha n'est pas dans votre sale jeu.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 08:45

La menteuse dit: "Ennahda a promis par exemple de créer 600 000 postes de travail en deux ans. (Rire." Moi je dis ENNAHDHA a promis 590000 emplois en cinq ans et non en deux. Quelle précision. (Rire).

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 08:31

Les députés Nahdha se répartissent entre 49 hommes et 42 femmes. Et avec ça elle a le culot de parler des dangers qui guettent les droits des femmes.Ou était-t-elle lorsque les opposants de Ben Ali subissaient les pires répressions? LA PHOTO SUR SA PAGE FACEBOOK QUE VOUS AVEZ CENSURÉE VOUS PROUVE DANS QUEL MILITANTISME ELLE ETAIT.

Très-Tunisien, le 05.11.2011 à 08:26

Pourquoi vous défendez sa liberté de mentir et vous me censurez lorsque je la défie de prouver ses allégations gratuites? Les 24% de femmes élues pour la constituante prouvent son mensonge surtout que plus de 80% d'entre elles appartiennent au parti Ennahdha.


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